Après son divorce à la veille de ses 43 ans, Cecilia Dueñas fait ses valises et quitte son luxueux appartement avec terrasse et son poste dans un prestigieux cabinet d’avocats. Un nouveau départ l’attend dans la maison madrilène remplie de souvenirs qu’elle a héritée de ses grands-parents. Pour chasser sa solitude, elle transforme ce charmant pavillon sur les rives du Manzanares en pension pour étudiantes et établit un règlement intérieur : interdiction de fouiller dans les affaires d’autrui, d’écouter aux portes ou de ramener des hommes.
Mais les petits arrangements de ses turbulentes résidentes – et les tendres manigances des fantômes de ses grandsparents qui déambulent dans la demeure en pantoufles et tablier à fleurs – viennent bouleverser tous ses plans. Car même Cecilia ne peut empêcher l’amour de se frayer un chemin dans la plus belle pension du monde…
Mêlant aventure rocambolesque et un soupçon de mystère et de magie, un roman pétillant au rythme effréné.
Quel bonheur d’avoir eu la chance et la joie de pouvoir pousser la porte de cette charmante petite pension…
Je me suis de suite sentie proche de tous les personnages présents dans ce roman, et j’ai été très triste de les quitter à la fin du roman…. Des personnages très touchants, très “humains’ remplis d’espoirs, de persévérance , d’amour… j’avais la sensation de les connaitre et de passer un moment avec des amies dont les liens se font et se défont au fil des pages … Entre trahisons, amour et déceptions, je ne me suis pas ennuyée une seconde…
La construction de ce roman avec les petites citations en début de chaque chapitre m’a énormément plu et amène finalement à la réflexion …
j’avoue en refermant ce roman, je n’avais qu’une seule envie ; aller découvrir à mon tour Madrid…
Avez-vous envi de passer à votre tour un moment dans cette pension un peu rocambolesque ?