Thriller

L’île des souvenirs , Chrystel Duchamp

Quand Delphine se réveille dans un lieu inconnu, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière, qu’elle connaît. L’une des deux ne survivra pas à l’horreur. L’enquête confiée à la Crim n’avance pas assez vite aux yeux de l’opinion. Et pour cause : la mémoire de la rescapée est un véritable champ de ruines… 
Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Issue d’une famille bourgeoise, elle tente de s’affranchir de son éducation en écumant bars et boîtes de nuit. Au cours d’une soirée, elle suit une ombre mystérieuse jusqu’à sa voiture… 
Quand elle se réveille dans une maison abandonnée, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière. 
L’enquête confiée à la Crim’ n’avance pas assez vite aux yeux de l’opinion. Sous pression, le capitaine Romain Mandier accepte l’aide d’un profiler et d’une psychotraumatologue. 
Qui est cet homme en noir, qui hante les souvenirs confus d’une des captives ? Pourra-t-on exhumer de sa mémoire les fragments qui mèneront au coupable ? 
Une fois de plus, Chrystel Duchamp surprend par une intrigue des plus originales, et un épilogue aussi glaçant que retors !

Je suis une grande fan de la plume et de Chrystel Duchamp tout simplement… j’avais eu un énorme coup de coeur pour son dernier thriller , ” Délivre-nous du mal”, alors j’avoue que ce nouveau roman je l’attendais avec grande impatience…
Et je n’ai pas du tout été déçue ! Quelle soirée un peu dingue ai-je passé à me faire tourner le cerveau dans tous les sens par la plume complètement machiavélique de Chrystel ! L’angoisse, le suspens est monté crescendo tout au long des chapitres… chapitres complètements addictifs, très courts comme je les aime, avec des parties concernant chaque personnage de cette énigme… Et c’est bien tout cela, qui m’a rendu impossible de poser ne serait ce qu’un instant ce thriller…
Plus addictif et plus machiavélique que cela , Chrystel ne pouvait pas faire…
J’étais pourtant persuadée du dénouement final à plus de cent cinquante pour cent, et j’en rigole, mais j’en étais tellement loin… j’y ai cru, mais c’est vrai que Chrystel sait tellement bien jouer avec ses lecteurs… j’aurai du me méfier, mais cette fin, quel fin absolument excellente ! ( et si seulement l’écureuil pouvait parler…)
Bravo à Chrystel Duchamp, reine incontestable du polar !!!

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