Parution le 10 février aux Editions Archipoche
Nola Grayson est une jeune préceptrice en avance sur son temps. Mais, en 1910, la bonne société londonienne ne veut pas d’une enseignante aux méthodes pédagogiques jugées subversives. Ne prône-t-elle pas, entre autres, l’émancipation de la femme ?
Aussi, quand Nola se voit proposer un poste à des milliers de kilomètres de chez elle, en Australie, décide-t-elle de tenter l’aventure. Pleine d’optimisme.
Une fois sur l’île continent, elle déchante. Les habitants de cette partie reculée du bush attendaient un instituteur. Quelle n’est donc pas leur surprise de voir arriver une femme…
Nola parviendra-t-elle à s’imposer dans cette terre dure et inhospitalière ? Et à trouver le bonheur ?
Gros gros coup de coeur pour ce joli petit roman. J’ai découvert la plume d’Elizabeth Haran , très addictive, très douce et j’ai été totalement conquise par sa manière de nous faire voyager.
J’ai aimé le personnage de Nola, son caractère bien trempé, sa faculté à ne pas baisser les bras au premier obstacle, son combat pour l’émancipation des femmes.
J’ai aimé sa sensibilité, sa générosité.
Complètement dépaysant, très très instructif, j ‘ai aimé voyager au fin fond de l’Australie ( dans le Bush australien), et de pouvoir découvrir cette contrée lointaine et très désertique.
Elizabeth Haran nous parle de la dureté de la vie la bas, et nous fait de magnifiques descriptions de ces grandes étendues sauvages. Elle m’a donné bien envie de découvrir ce pays.
Il y a de nombreux rebondissements tout au long de ces tout de même 478 pages… même si j’avais un peu deviné que cela allait plutôt bien se terminer…
C’est une très belle découverte, j’ai trouvé que c’était un peu dans la meme veine que les Pionnières d’Anna Jacobs que j’ai énormément aimé également.