Paru le 20 janvier aux Editions l’Archipel
Le nouveau suspense de Chrystel Duchamp, autrice de L’Art du meurtre et de Le Sang des Belasko.
Février 2018. Anaïs sollicite l’aide de son ami Thomas Missot, commandant à la PJ de Lyon. Pour elle, pas de doute, sa soeur Esther a été enlevée. Pourquoi aurait-elle, sinon, laissé derrière elle ses clés de voiture, ses papiers et son téléphone portable ?
Les mois passent et, tandis que l’enquête s’enlise, d’autres jeunes femmes se volatilisent. Jusqu’à ce qu’un corps soit retrouvé pendu dans une usine désaffectée, le crâne rasé, la langue sectionnée. Puis un deuxième…
Thomas sait désormais qu’un tueur en série sévit dans la région. Mais il ignore encore que ces cadavres ne sont que la partie immergée du plan machiavélique d’un individu avide de vengeance…
J’avais déjà lu et énormément aimé le Sand des Belasko, le second polar de Chrystel Duchamp et j’ai été ravie de dévorer son troisième polar et de retrouver sa plume à la fois sombre, forte, rythmée, remplie de suspens et très agréable à lire. J’ai maintenant envie de lire son tout premier polar “L’art du meurtre” pour les avoir tous lu.
J’ai démarré ma lecture dimanche après midi et je l’ai terminé dimanche soir, tellement c’était addictif. Impossible de laisser passer une nuit sans connaitre le dénouement final.
L’intrigue est très, très prenante, et malgré quelques scènes bien dures ( je ne suis pas trop à l’aise avec les histoires de pédophilie, cela m’a un peu retournée le ventre je l’avoue ), j’ai vraiment énormément aimé cela.
J’ai beaucoup aimé cette enquête avec tous ces bonds dans le temps.
Je n’avais absolument rien soupçonné avant la fin… et pourtant dans ma tête je m’étais fait tout plein de scénarios.
J’avoue que je ne regarderai plus jamais le pain de seigle de la même manière, j’aurai en effet toujours une pensée pour ce polar.
Bravo à Chrystel Duchamp pour ce polar rondement bien mené !