” Plus vous chercherez à comprendre, plus le piège se refermera sur vous. ”
Cinq femmes kidnappées. Quatre victimes introuvables. Trois enquêteurs sur la brèche. Deux jours seulement. Un tueur diabolique. Zéro chance d’en sortir indemne.
Ok, vous n’avez aucune preuve que je me sois cramponnée au bras de Jérôme dès les premiers pages…. Mais quand même, c’est malheureusement l’effet que produit la plume d’Alexis Laipsker sur moi… il me fait peur !
Il me donne envie d’aller me cacher, et de crier ( ok dans ce roman là, il ne vaut mieux pas trop crier , et encore moins avec une voix trop grave) Et malgré cela, j’ai envie de connaitre le dénouement de cette histoire, de cette enquête palpitante car me voici prise au piège !
J’ai donc été totalement , mais alors totalement happé par cette folle et nouvelle enquête, par ces folles disparitions, par ces scènes assez obscures, noires, barbares…. et malgré toute la noirceur de ce polar, j’ai aimé suivre ce duo de choc d’enquêteur “Le Cow Boy” Victor Venturi et la psychologue “Menthe à l’eau ” Olivia Montalvert. ( il ne me reste que les poupées, le précédent polar d’Alexis Laipsker à lire, et ou justement je retrouverai ce duo de choc pour leur première enquête conjointe)
Quelle énigme tellement bien ficelée, tellement bien proposée et quel suspens ! Jusqu’au bout le suspens est présent et oppressant …
Les chapitres sont courts, très courts et cela rend la lecture encore plus anxiogène, encore plus addictive.. Certaines scènes sont trash, très trash, très cruelles, très barbares… comment peut on proposer des actes aussi barbares et abominables… ( cela m’a retourné ventre )
J’ai eu peur et j’ai frissonné pour et avec Olivia Montalvert ( d’ailleurs je ne regarderai plus jamais de la même façon mon vélux dans la chambre et encore moins la porte des toilettes ! )
Impossible d’aller me coucher sans en connaitre le dénouement final, d’ailleurs je ne pense pas que j’aurai meme réussir à fermer un oeil sans savoir ….
C’était affreux, mais c’était trop bon quand meme ! Merci et bravo Alexis pour toute cette imagination incroyable !