Paru aux Editions Charleston, le 26 janvier 2021
Une petite pépite pour bien démarrer cette année… !
Sur la couverture, on y lit
“Un hymne jubilatoire aux femmes libres, à l’amour, à Paris !” Adèle Bréau, actrice de Frangines.
1860. Joséphine est une grisette, courageuse et mutine, une de ces milliers de petites mains mal payées des coulisses de la mode.
2020. Amanda est une entrepreneuse moderne, qui développe son entreprise de bijoux grâce aux réseaux sociaux.
Un jour, Amanda trouve dans sa cheminée une merveilleuse bague en opale, le Rayon de lune, ainsi qu’un paquet de lettres jaunies qui révèlent la vie mouvementée de la grisette. Fascinée, elle se sent liée à l’émouvante Joséphine par mille fils invisibles et surtout par cette bague, chargée de souvenirs.
Mais voilà que le Rayon de la lune disparait dans des circonstances dramatiques…
Séparées par plus d’un siècle mais réunies par l’immeuble parisien et le métier qu’elles partagent, ces deux héroïnes vont tout faire pour réaliser leurs rêves. Un roman poignant, traversé par des passions amoureuses qui défient le temps.
Quel joli roman …
Quel plaisir de retrouver la plume de Tonie Behar que j’avais déjà tant aimé dans son dernier roman : Si tu m’oublies , que je ne peux que vous recommander également… du coup la chanson du rayon de lune est exactement dans la même lignée…
Si tu m’oublies :
Vingt ans plus tard, tu en es toujours là : te perdre à retrouver Joachim !
Il suffit parfois d’un simple coup de sonnette pour que tout s’emballe.
Violette mène une vie calme et rangée entre son métier d’ophtalmologue et ses jumeaux. Elle a soigneusement posé un couvercle hermétique sur son passé, les blessures, la passion. Jusqu’au jour où Joachim Calderon sonne à sa porte, après de longues années d’absence, pour lui demander de cacher cinq millions d’euros en petites coupures. D’où vient cet argent? Dans quel jeu dangereux son grand amour d’adolescence est-il impliqué? Contre toute raison, Violette accepte de l’aider. Et les ennuis commencent.
Quand elle comprend, quelques jours plus tard, que Joachim a de nouveau disparu sans laisser d’adresse, Violette décide de partir à sa recherche. Car si Joachim cache un secret… elle aussi !
J’avais trouvé ce roman absolument fabuleux et j’avais eu un vrai coup de coeur pour Tonie Behar… coup de coeur que je confirme avec ce second roman que je viens de terminer et que j’ai adoré !
Une lecture riche en rebondissements, sur fond d’enquête policière ou j’ai été happée dès les premières pages…
Effectivement à peine ma lecture démarrée que j’avais déjà sur mon visage ce petit sourire béat qui m’a accompagné tout au long de ma lecture tant j’ai été captivée…
Bravo à Tonie Behar de nous faire traverser avec cette facilité ces deux époques, et l’année 2020 avec le Corona virus et les années 1860 avec la vie parisienne de l’époque et les fameuses grisettes…
J’ai d’ailleurs adoré apprendre tout ce pan historique sur l’histoire de ces grisettes : “c’était de jeunes femmes ouvrières parisiennes qui travaillaient souvent dans la mode, chez des couturières, des modistes, des grands magasins… des jeunes femmes coquettes et joyeuses qui avaient envie de s’amuser sans trop penser au lendemain. Elles ont donné naissance au mythe de la Parisienne, mutine, dégourdie, avec de la repartie et du peps.”
Si vous cherchez un très très joli roman , je ne peux que vous le conseiller… Moi en tout cas , j’ai été captivée du début jusqu’à la fin…