K est archiviste dans une ville détruite par la guerre, en Ukraine. Le jour, elle veille sur sa mère mourante. La nuit, elle veille sur des œuvres d’art. Lors de l’évacuation, elles ont été entassées dans la bibliothèque dont elle a la charge. Un soir, elle reçoit la visite d’un des envahisseurs, qui lui demande d’aider les vainqueurs à détruire ce qu’il reste de son pays : ses tableaux, ses poèmes et ses chansons. Il lui demande de falsifier les œuvres sur lesquelles elle doit veiller. En échange, sa famille aura la vie sauve. Commence alors un jeu de dupes entre le bourreau et sa victime, dont l’enjeu est l’espoir, espoir d’un peuple à survivre toujours, malgré la barbarie.
Grande , grande fan de la plume d’Alexandra Koszelyk , j’ai été tellement heureuse de me plonger dans son nouveau roman tout juste paru le 7 octobre dernier.
Je l’ai dévoré en une soirée, tellement j’ai été captivé et happé par cette histoire… tellement je le suis attachée à K….
C’est une véritable ode à l’Ukraine que nous livre Alexandra dans ce roman, une ode tellement forte que ‘j’en ai eu les larmes aux yeux et des frissons tout au long de ma lecture… car ce roman se passe en ce moment et faire la rencontre de K c’est tellement fort , et tellement émouvant…
Une fois de plus et comme dans tous les romans d’Alexandra j’ai appris énormément de choses, et plus particulièrement ici dans le domaine de l’art… et c’est tellement mais tellement instructif et tellement enrichissant que de plonger dans cet univers.
Tout au long de ma lecture je me suis posée tout un tas de questions, et je me suis surtout demandé quelle était la part de réalité dans ce roman et quelle était la part de fiction ….
Un roman à découvrir, une plume a découvrir si ce n’est pas encore fait …
Merci et surtout bravo à toi Alexandra pour ce nouveau roman, tellement fort et puissant et tellement courageux.