Paru aux Editions Pocket le 3 février 2022.
Un carnet intime passe de mains en mains et bouleverse chacun de ses propriétaires…
Monica a abandonné sa carrière d’avocate pour réaliser son rêve : ouvrir un café sur Fulham Road. Le jour où un de ses clients oublie son carnet sur une table, elle ne peut s’empêcher de le lire. Les premières pages lui révèlent la confession de Julian Jessop, un artiste excentrique, âgé de soixante-dix-neuf ans qui exprime toute sa tristesse et sa solitude depuis la mort de sa femme.
Touchée par cette idée de révéler des sentiments intimes à des inconnus, Monica décide de continuer le carnet avant de le déposer dans un bar à vin.
Au risque de voir son destin bouleversé de manière inattendue…
C’est une Lecture Commune que j’ai partagé avec mon amie Alexandra (et un petit groupe bien sympathique) qui a proposé cette lecture… le moment de le sortir enfin de ma PAL…
La couverture m’invitait déjà à rentrer au sein de ce joli café… et j’ai adoré y lire la petite phrase de mon amie libraire Sandrine Dantard : ” ce livre est magique !”
et effectivement à peine commencé, il m’a été difficile de “m’arrêter” dans ma lecture pour suivre le rythme de la lecture commune… je l’avoue je n’ai pas réussi à m’y tenir…
J’ai aimé lire les liens qui se sont tissés entre ces différentes personnes, Ces personnes tellement différentes, au parcours de vie si différent, qui finissent par se réunir tel une grande famille…
j’ai aimé l’ambiance, un peu so British, j’aurai adoré aller boire un bon thé vert chez Monica et participer à un cours de peinture avec Julian…
J’ai aimé tous les personnages, tous très réels, tous remplis de belles qualités et de jolis petits défauts…
J’ai aimé les chapitres courts, qui ont littéralement défilé à toute allure, la construction du roman était bien originale.
Et depuis cette lecture je scrute sur la route les voitures jaunes en ayant le sourire aux lèvres.
J’ai été un peu triste de les quitter, et je n’avais pas du tout vu le petit rebondissement à la fin du roman…
C’est un roman qui fait du bien, qui donne foi en l’humanité, c’est tendre et comme le dit Sandrine Dantard, c’est magique !