Parution le 29 juin 2022 aux Editions City.
À l’aube de la Libération, Paris vit ses heures les plus sombres. Mais la jeune Élise n’hésite pas à braver les dangers et à partager le peu qu’elle possède avec un orphelinat juif. Affamée de justice, elle va encore plus loin, exfiltrant les enfants avant qu’ils ne soient envoyés au camp de Drancy. Un jour, elle fait la rencontre de Sebastian, un jeune soldat allemand. Chaque jour, pour le Reich, il traduit les lettres de dénonciation. Mais sa rencontre avec Élise va le confronter à l’horreur de ses actes et à un terrible dilemme : trahir son pays ou renoncer à l’amour de la belle Française. Dix-neuf ans plus tard, une jeune femme, Jospéhine, découvre dans une vieille valise, une lettre qui remonte à la guerre. Un mot d’amour destiné à sa mère mais écrit par un autre homme que son père. Peu à peu, elle remonte le fil d’une histoire d’amour interdite. L’histoire d’une trahison et d’une vérité indicible qui va changer sa vie à tout jamais.
Simple comme tout, j’ai adoré !
J’ai adoré faire la connaissance d’Elise et de sa fille Joséphine sur les terres bretonnes que j’affectionne tant…
Et j’ai aimé ce roman à double temporalité , puisque nous démarrons la lecture de ce roman en mai 1963 et que nous faisons ensuite un joli bond en arrière , en 1944 en pleine occupation allemande de la capitale …
Je me suis littéralement sentie transportée dès le début de ma lecture à Paris en pleine seconde guerre mondiale …
L’alternance des chapitres entre Elise et Sebastian sont courts , du coup le rythme est très entrainant, c’était tellement passionnant de les découvrir tour à tour et de suivre cet amour interdit…que je n’ai pas pu lâcher ce roman…
C’était tendre, fort, passionnant et très émouvant… Je vous avoue avoir versé quelques larmes….J’étais toute remuée en le refermant et en le posant sur ma table basse… depuis la fin de ma lecture je pense encore énoememrn à tous les personnages auxquels je me suis beaucoup attachée…
Je me suis déjà commandée son tout premier roman , L’enfant du train, tellement j’ai aimé la plume de l’autrice.