1919.
Alors que l’Europe se relève à peine de la Grande Guerre, à Longfield, un nouveau drame s’abat sur la famille Ashford : Edward, le frère adoré de Julia, a succombé à la grippe espagnole. Endeuillée, la jeune femme se réfugie dans les bras de William Murphy, mais leurs deux familles s’opposent formellement à leur union.
Pour sa cousine Emily, les choses vont mieux : mariée à Archie et jeune maman, elle est choisie par le rédacteur en chef d’un journal pour être la seule femme journaliste à couvrir le « Conseil des Quatre » qui se réunit à Paris. Et c’est Florine, qui a dû laisser son emploi d’institutrice au retour des hommes du front, qui sera la préceptrice des deux enfants de la famille.
Quant à Elena Demidov, réfugiée au domaine pour échapper à sa famille, elle est toujours traquée par son frère Dimitri, bien décidé à lui faire payer sa trahison….
Mais quelle saga absolument passionnante ! J’avais déjà été complètement enchantée par les deux précédents tomes et celui là m’a encore plus charmé, m’a encore plus transporté dans cette époque.
Je n’ai eu q’un tout petit peu de mal au début de ma lecture à me souvenir de tout ce qui c’était passé précédemment pour tous les personnages, mais au bout de quelques pages j’étais à nouveau totalement immergée dans cette saga.
Quel bonheur de retrouver les personnages que j’avais tant aimé dans les précédents tomes, notamment Julia et Emily les deux femmes principales de cette histoire autours desquelles toute l’histoire gravite.
Un énorme Bravo à carine Pitocchi pour ces si nombreuses recherches historiques que j’ai tellement apprécié , j’ai été complètement prise dans cette histoire, et j’ai adoré vibré aux cotés des nombreux personnages…
Effectivement les années d’après guerre que nous allons suivre ne sont pas faciles et sont riches d’Histoire.
Surtout n’hésitez pas, si vous aimez l’histoire, les sagas, les femmes , parce que oui c’est un roman résolument féministe et c’est une saga de femmes !,
C’est en tout cas vraiment une saga à découvrir qui est totalement bouleversante et tellement remplie d’humanité dont nous avons bien besoin.