Paru le 20 janvier aux Editions l’Archipel
1863. Ismay et Mara, deux orphelines irlandaises de 15 et 11 ans, embarquent pour l’Australie afin de fuir la misère. À peine parvenues sur cette terre sauvage, les voilà séparées l’une de l’autre.
Tandis qu’Ismay devient employée de maison au coeur du bush, Mara demeure sous la protection des religieuses de la mission catholique.
Sans se concerter, toutes deux décident de s’enfuir pour se retrouver plus tard. Mais le désert australien réserve bien des dangers…
Pendant ce temps, leur soeur aînée Keara, partie à Melbourne à la recherche de ses cadettes, doit affronter d’autres menaces. Les trois soeurs ne sont pas au bout de leurs peines. Parviendront-elles à être enfin réunies ?
Quel bonheur, quelle joie que de pouvoir lire ce second tome et de retrouver ma chère Keara, que j’avais tant aimé dans le premier tome des Pionnières. ( http://posetoievalire.fr/les-pionnieres-anna-jacobs/ )
La première partie du roman était réservée aux deux soeurs de Keara, Ismay et Mara que l’on suit dans leur périple sur les terres australiennes. On apprend à les découvrir bien plus que dans le tome 1, et je les ai tellement aimé… leur relation très fusionnelle, leur bienveillance l’une envers l’autre…
C’est tout pleins de fortes et belles émotions que j’ai aimé les découvrir…
Et ensuite dans la deuxième partie on retrouve ma chère Keara, les années ont passé et elle est toujours en quête de retrouver ses soeurs et d’être enfin réunies… Les sentiments sont très profonds et j’ai énormément aimé découvrir tous les détails d cela vie en Australie au 19eme siècle.
j’ai également aimé tous les chemins croisés et entremêlés de tous les personnages secondaires, mais qui sont tout aussi sympathiques et agréables à suivre et auxquels on s’attache
Beaucoup beaucoup de plaisir à lire cette saga avec ce second tome. La plume d’Anna Jacobs est très Belle et nous entraine sur de magnifiques territoires australiens… cela m’a permis de m’évader pendant quelques heures et d’avoir bien chaud malgré l’hiver chez nous.