Cinquante-deux semaines : c’est le temps qu’il reste à Mona pour découvrir toute la beauté du monde.
C’est le temps que s’est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l’initier, chaque mercredi après l’école, à une oeuvre d’art, avant qu’elle ne perde, peut-être pour toujours, l’usage de ses yeux.
Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.
Ensemble, ils vont s’émerveiller, s’émouvoir, s’interroger, happés par le spectacle d’un tableau ou d’une sculpture. Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona découvre le pouvoir de l’art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle à jamais.
Waouhh, j’en ai pris plein les yeux, c’est le cas de le dire!
Quelle beauté ce roman
Il est vraiment d’une beauté artistique incroyable
D’une ode à la vie très tendre et très attendrissante.
Un voyage contemplatif que j’ai adoré faire, que j’ai adoré suivre
J’ai aimé rencontré Mona tout d’abord, cette petite fille qui m’a énormément touché , et j’ai adoré sa complicité avec son grand père, j pense que c’est ce que ce j’ai le plus aimé dans ce roman, ce lien si fort qui existait entre eux…
C’est un roman d’une bienveillance incroyable qui m’a vraiment beaucoup touché.. j’ai été comme emportée , comme si j’étais à leurs côtés durant toute cette histoire.
La rencontre avec ces 52 chefs d’oeuvre était incroyable ,remarquable, j’ai aimé me promener dans ces trois musées tout en étant bien installée sur mon canapé et découvrir en profondeur chaque toile grâce à Mona et aux conseils plus qu’avisés de son grand père. J’ai trouvé cela un peu comme une initiation à l’art de façon très ludique, de façon très intéressante et très enrichissante.
ce roman, c’est un peu un roman qui nous permet et nous apprend à prendre son temps, qui nous permet d’observer l’art qui nous entoure, ou juste les détails qui nous entourent d’une façon minutieuse et méticuleuse et d’en prendre plein la vue.
Bravo pour cette jaquette dépliable qui m’a permis de visualiser tous les chefs d’œuvres en un clin d’œil, c’était vraiment très astucieux et cela m’a permis une lecture encore plus immersive. Cela me donne qu’une seule envie à présent, aller voir ces 52 chefs d’oeuvre pour de vrai dans leurs musées respectifs.
Et vous, êtes-vous sensible à l’art ? L’avez-vous lu ? Ce roman vous tente t’il ?