Lucie est verte de rage : spoliée et abandonnée par ses enfants à la mort de son mari, elle se retrouve dans un appartement minuscule ! Finie la grande vie… Jusqu’à ce qu’elle rencontre le bel Henri.
Quand son cher époux est mort, Lucie ne s’attendait certainement pas à hériter de… ses dettes. Ses enfants ne lui parlent plus (il faut dire qu’elle n’a jamais pu retenir le prénom de ses petits-enfants) et, ruinée, elle est obligée de déménager ! En plus, ses nouveaux voisins sont insupportables – surtout le petit Hyppolite, un vrai pot de colle.
Heureusement que Lucie peut se changer les idées avec ses meilleures amies et le charmant Henri qu’elle vient de rencontrer. Mais les apparences sont trompeuses et, alors que Lucie découvre des qualités insoupçonnées chez ses hurluberlus de voisins, son nouveau et mystérieux prétendant n’est peut-être pas celui qu’elle croit…
Quel bonheur de revenir passer du temps dans l’immeuble de la rue Cavendish …. Bonheur de retrouver les “anciens ” personnages que j’ai rencontré dans les deux précédents tomes, et surtout de prendre de leurs nouvelles … J’avoue j’adore cela… et quel bonheur de rencontrer Lucie… J’ai trouvé ce tome un peu différent des deux précédent, même s’il est tout aussi drôle, je l’ai trouvé encore plus profond que les deux autres, et encore plus touchants…
Lucie, m’a énormément surprise et je n’avais qu’une seule envie la serrer fort dans mes bras…
j’ai aimé la découvrir, découvrir ses odieux enfants, ses amies, et surtout j’ai aimé la suivre dans cette nouvelle tranche de vie toute nouvelle pour elle… et pourtant au début de ma lecture j’ai eu un peu de mal à m’attacher à elle, elle avait si je puis dire un caractère et des traits pas très sympathiques… ( en alsacien je dirais même que j’ai trouvé qu’elle était “ingebeld” ) et puis… la magie de la plume de Caroline Kant a opéré ….
J’ai hâte de découvrir le quatrième tome de cette série absolument parfaite