Il vaut parfois mieux ignorer la vérité…
Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c’est tout son monde qui s’écroule. Elle s’en veut d’avoir été trop accaparée par son métier. Elle en veut à son mari, qui aurait dû surveiller leur petite brune aux yeux bleus, mais qui a failli, trop occupé à donner un énième coup de canif dans leur contrat de mariage.
Lorsque les recherches conduisent finalement à un multirécidiviste connu par la justice pour le viol de quatre fillettes, Jeanne comprend que rien ne sera jamais plus comme avant. Et son travail de résilience s’annonce d’autant plus long que le corps de Sixtine n’a jamais été retrouvé.
Une absence qui laisse planer comme une incertitude… Et si la vérité s’avérait plus sordide et glaciale encore que la mort d’un enfant ?
Je l’ai acheté au Quai du Polar à Lyon, et c’est finalement suite à ma nouvelle rencontre avec les auteurs après le Festival sans Nom de Mulhouse ou ce thriller a remporté le grand prix que j’ai enfin pris le temps de le sortir de ma PAL.
Et waouhhhh… je l’ai dévoré, en étant complètement angoissé… en étant tellement mais tellement compatissante envers cette famille, tellement mal pour ce qu’était en train de vivre Sixtine…
J’ai adoré la construction du roman, alternant les chapitres entre ce que Sixtine est en train de vivre et ce que sa mère est en train de vivre…
Ce thriller était juste DINGUE, je n’y crois encore pas aujourd’hui tellement , tellement , tellement c’était fou !
complètement addictif, je n’ai pas pu dormir tant que je ne l’avais pas terminé, et aucun regret je n’aurais jamais réussi à me coucher sans connaitre la fin, sans comprendre, sans découvrir la fin mot de cette folle histoire.
J’ai tellement aimé , et pourtant c’était vraiment une atmosphère glauque et étrange , mais j’ai complètement été prise dans cette folle histoire.