Et si les victimes étaient en réalité les coupables ?
Un milliardaire serbe égorgé à Londres. Sur la baie vitrée, ces lettres de sang : Chè la mia ferita sia murtale.Que ma blessure soit mortelle…
Pour Marie Jansen, l’inspectrice d’Europol, la sentence sonne comme l’écho lointain d’un passé et d’une terre qu’elle pensait définitivement oubliés.
Son enquête la plonge soudain deux décennies plus tôt. En Corse. Au temps des braquages en mer.
Ce jour-là, Ange et Théo, les frères du gang des Roches rouges, fouillent les cales du yacht qu’ils ont pris d’assaut. Et découvrent, sidérés, ce qu’ils n’auraient jamais dû voir…
Je pense que c’est la toute première fois que je pleure en lisant un thriller… Incroyable…. Il s’est passé un phénomène très étrange tout au long de ma lecture ou je me suis réellement attachée à énormément de personnages … et j’ai été très très touchée par toute cette histoire…
waouhhhh…
C’est le mot qui m’est de suite venue à la fin de ma lecture…
Un thriller avec une double temporalité incroyable… moi qui adore ce genre de récit, j’ai été servie et tellement surprise !
Une histoire, une intrigue complètement dingue…
Un voyage entre la Corse, la Serbie, La France, la Suisse ou j’en ai pris pleins les yeux tellement les descriptions des paysages étaient beaux
j’ai été complètement,nt, mais alors plus que complètement captivée par cette histoire, rempli de rebondissements incroyables, de drames, de trahisons en tout genres, de secrets incroyables….
Waouhhh !
Et puis ce thriller est rempli de fortes émotions… ces deux frères , Théo et Ange que l’on va suivre tout au long du récit m’ont profondément touché… Et puis… j’ai été tellement mais tellement touché par Marie ( … message personnel pour Olivier … je veux la retrouver …)
J’ai été incapable de le lâcher et je l’ai lu d’une seule traite tellement c’était captivant, haletant et juste magnifique !Que de sensations fortes j’ai vécu durant ces 435 pages… bien meilleur que d’aller sur les montagnes russes d’Europa Park !
Waouhhh, waouhh, waouhh, j’en reste encore bouche bée ! Bravo à toi Olivier !
