Tuer le temps, le premier roman de Paul Joubert alias Grosso Modo
Et si en finir avec la vie n’était pas mourir mais changer d’époque ?
C’est ce que découvre Édith quand elle décide de mettre fin à ses jours mais qu’elle se réveille dans un lit d’hôpital en… 1905, plus de 150 ans avant sa naissance. À peine remise de son passage à l’acte qu’Alfred de Crancy, héritier d’un empire industriel, lui propose d’intégrer l’entreprise familiale à de hautes fonctions en échange de ses connaissances sur les innovations futures.
Alors qu’elle est choyée comme un être précieux, les discours autour d’elle sont de plus en plus ambigus. Tandis que certains l’acclament comme une visionnaire, d’autres, comme ce magnat des affaires qu’on surnomme ” l’Oncle “, semblent connaître son secret. Et si elle était loin d’être la seule dans son cas ?
Quel roman surprenant, dingue et complètement space j’ai trouvé !
J’avoue je n’avais pas du tout lu la quatrième de couverture… et du coup j’ai été méga surprise et j’ai énormement kiffé !
La plume de Paul Joubert est méga fluide, impossible de poser ce roman sans découvrir la fin, c’était méga addictif, et j’ai trouvé ce concept de roman hyper méga différent de ce que ‘j’ai l’habitude de lire
J’ai retrouvé totalement le style de Grosso Modo que j’aime suivre sur Instagram, son univers complètement loufoque et déjanté, toujours dans des balades de son imagination… C’était space, et je ne saurai pas vous dire dans quelle catégorie classer ce roman, il est d’un genre à part, d’un genre complètement unique , le sien… et c’était finalement ça qui était génial dans cette lecture… se laisser complètement porter et voyager loin, loin loin…