Parution le 10 mars aux Editions Archipel
À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d’un service d’accompagnement dédié aux femmes en danger.
Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l’idée d’être suivie par un psychopathe. Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher. Et ce jour se lèvera dans deux heures !
Oppressant, troublant, angoissant… L’un des romans les plus maîtrisés du numéro 1 allemand du thriller, qui une fois de plus, à l’image de ses personnages pervers, joue avec nos nerfs en virtuose.
J’avoue avoir eu un peu de mal les 50 premières pages, me demandant sincèrement ce que j’étais en train de lire et me disant que ce n’était vraiment pas pour moi… et finalement j’ai accroché à fond et je ne me suis pas arrêtée jusqu’à la fin !
A la fois très “gore” avec des scènes très violentes, mais également plus que très intriguant, et du suspens jusqu’au bout, j’ai passé un bon moment de lecture et je ne me suis absolument pas ennuyée ! J’ai vraiment été prise au piège par cette intrigue et me suis laissée manipulée par le brio de la plume de Sebastien Fitzek dont je ne connaissais pas la plume. Je ne me suis pas du tout rendue compte de l’endroit ou il voulait m’emmener, et j’avoue qu’il a bien joué avec mes nerfs avec tous les rebondissements auxquels j’ai eu droit…
J’ai beaucoup aimé la référence ou il nous parle du roman best seller Le café du bout du monde de John Streckely, et également les nombreux lieux qui se passaient en Allemagne et que je connaissais bien et surtout le petit passage qui évoquait le prélude numéro 4 de Chopin, mon compositeur préféré !
Une intrigue très originale qui m’a fait tourner les pages sans m’en rendre compte… avec une thématique très forte : la violence faite aux femmes.